Résumé de l’étude REPAD-I

La maladie d’Alzheimer est la première maladie neurodégénérative en termes de prévalence.

Pour la France, il est prévu qu’elle touchera plus de deux millions de personnes en 2040.

Sa prise en charge implique directement les proches du patient, ce de manière croissante en fonction de l’évolution des symptômes.

Les aidants principaux consacrent alors un temps très important (plus de six heures par jour pour 70% des conjoints) tant à différentes tâches matérielles (hygiène, gestion des activités quotidiennes, prise des traitements…), qu’à l’apport d’un soutien affectif.

De surcroit, les troubles psycho-comportementaux du malade, notamment de part leur caractère fluctuant et imprévisible, imposent à l’aidant de fréquents réajustements vis-à-vis du malade et sont une source de stress importante.

Les différentes conséquences physiques, psychologiques, émotionnelles de l’aide apportée au malade ont un impact global conceptualisé sous le nom de fardeau.

Certaines techniques de relaxation ont prouvé leur efficacité sur la gestion du stress.

D’autre part, différents programmes d’intervention pour les aidants de personnes atteintes de maladie d’Alzheimer et maladies apparentées ont été bénéfiques en termes de diminution du sentiment de fardeau et d’amélioration de l’humeur.

Programme de recherche pour les aidants de patients Alzheimer vivant à domicile :

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